dimanche 5 août 2012

Si c'était à refaire (Marc Levy)

SI C'ETAIT A REFAIRE :
Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, vient de se marier.
Le 9 juillet 2012 au matin, il court le long de l’Hudson River quand il est soudainement agressé. Une douleur fulgurante lui transperce le dos, il s’effondre dans une mare de sang.
Andrew reprend connaissance le 9 mai 2012… Deux mois plus tôt, deux mois avant son mariage.
À compter de cette minute, il a soixante jours pour découvrir son assassin, soixante jours pour déjouer le destin.
De New York à Buenos Aires, il est précipité dans un engrenage vertigineux. Une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu’au dénouement… à couper le souffle.


★☆★ Je m'étais pourtant jurée de ne jamais relire un livre de Marc Levy. Et pourtant... suite à des avis totalement positifs sur ce livre, je me suis dit "pourquoi pas"... Pour faire un mauvais jeu de mot, si c'était à refaire, je ne le referais pas. 

Du Levy pur sucre qui ne se renouvelle pas. Pendant un moment, j'ai même cru lire du Musso !!!

Un héros qui mène une enquête, celle de son assassinat. Intéressant, oui. Prenant, également.
Mais plat, très plat. Sitôt lu, sitôt oublié. 

Un livre parfait pour l'été, sur la plage, la chaise longue, au bord de la piscine avec un oeil sur le livre et l'autre sur les enfants dans l'eau. 

Je ne peux pas dire que c'est nul car c'est prenant et on a toujours envie d'aller plus loin dans la lecture (une marque de fabrique de Marc Levy, il est très fort pour ça) pour savoir ce qu'il advient des personnages. Mais ça reste plat, sans grande consistance.

Par contre, j'ai énormément aimé les faits historiques intégrés à l'histoire. La révolte des Mères de Mai en Argentine, l'histoire des ces enfants enlevés à leurs parents, les recherches pour leur apprendre la vérité sur leurs origines. Ce que j'avais également beaucoup apprécié dans son autre livre, Les enfants de la liberté★☆★







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